samedi 27 juillet 2013

Profil des 5 parlementaires profitant des congés des français pour proposer la PMA pour tous


Rien ne les arrête, pas même la vox populi


En plein mois de juillet, ils en profitent pour tenter de faire passer le volet suivant de la décadence pour tous : 


Une proposition de loi pour autoriser la "PMA pour tous"

Texte n° 786 (2012-2013)  déposé au Sénat le 19 juillet 2013




Qui sont-ils ? 


Cinq sénateurs  ont déposé le 19 juillet une proposition de loi visant à modifier le code de la santé publique pour autoriser l'accès à l'assistance médicale à la procréation aux couples de même sexe.  
PRÉSENTÉE Par
MM. Jean-Pierre GODEFROY, Roland COURTEAU, Bernard CAZEAU, Roger MADEC et Mme Michelle Meunier,



Jean-Pierre Godefroy (GODF)

Jean-Pierre Godefroy,
appartient au comité de parrainage du projet de loi sur l'Euthanasie
 

 « Dès qu’il dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit (...) L'euthanasie sera l'un des instruments essentiels de nos sociétés futures, dans tous les cas de figure » (Jacques Attali - Bilderberg 2006, B'nai B'rith -, Extraits de L’homme nomadeNB : Attali est né en 1943 (un 1er novembre, jour de la fête des morts). Il a 69 ans, mais ne s'est pas euthanasié pour autant... Ça ne concerne peut-être pas tout le monde ? 








Roland Courteau

Roland Courteau, Vice Président de la Délégation aux "Droits des Femmes"

.... tandis que ce projet conduira à la GPA (Grossesse Pour Autrui) ramenant le droit de la femme en situation de précarité, au droit de la "femme-utérus"... C'est dire si le droit des femmes les intéresse...

"Gens mauvais et sans foi que vous êtes ! Combien de temps encore devrai-je rester avec vous ?" (Luc 9:41)  "En vérité, les hypocrites sont les pervers. " Coran (9,67).





Bernard Cazeau (GODF)

Egalement co-signataire de la proposition de loi visant à verser les allocations familiales et l'allocation de rentrée scolaire au service d'aide à l'enfance lorsque l'enfant a été confié à ce service par décision du juge  (NB : l'ancien IGAS Inspecteur Général des Affaires sociales lui-même, reconnaissaient que 50% des enfants retirés à leur famille - ne devraient pas l'être... )  

Membre du Comité ad hoc chargé de donner un avis sur les autorisations de recherches sur l'embryon - Conseil d'orientation de l'Agence de la biomédecine


Vers la fin de la civilisation ?

L'utérus artificiel est un voeu pieu mais une damnation certaine... 
Voilà ce que des apprentis sorciers font du "Droit des femmes" 




Roger Madec

Signataire de l'appel "Gestion pour autrui : un cadre contre les dérives" publié dans Le Monde du 13/12/2010, signé notamment par E. Badinter, N. Belkacem ("young leader" de la French American Foundation), F. Dagnaud, A. Filipetti, R. Madec et A. Vidalies.

Egalement co-signataire de la proposition de loi visant à verser les allocations familiales et l'allocation de rentrée scolaire au service d'aide à l'enfance lorsque l'enfant a été confié à ce service par décision du juge





Michelle Meunier

Membre du Haut conseil de la famille  et vice présidente du Conseil Général de Loire Atlantique chargée de l'enfance et des familles de 2004 à 2011   (no comment)
 



Conclusion :







Pour aller plus loin .. 

Article intéressant :



jeudi 25 juillet 2013

La réduction des effectifs militaires rentre dans le cadre du Novus Ordo Seclorum #armée



loi de programmation militaire pour 2014-2019


Réduction des effectifs  militaires observés dans les démocraties occidentales rentrent dans le cadre du plan global de gouvernance mondiale  visant ni plus ni moins, un esclavage de l'humanité, suivant un plan qui ne s'en cache plus ... 





Pierre Gilbert (Canadian Intelligence Services)- Conférence Novus Ordo Seclorum (2/4)


"La situation idéale ca serait d'avoir Jérusalem
devenant capitale de la planète
réunifiée autour d'un gouvernement mondial" (Jacques Attali)


A propos d'Attali..
 Attali : gourou français du Nouvel Ordre Mondial ?  




mercredi 24 juillet 2013

Le renseignement canadien explique ce qu'est la franc-maçonnerie (Pierre Gilbert)


Pierre Gilbert  
Nouvel Ordre Mondial
et sociétés secrètes

( Canadian Intelligence Services )


 Thèmes abordés
  • Les sociétés secrètes qui contrôlent notre monde moderne.
  • La complicité des gouvernements.
  • La programmation de la chute du dollar.
  • La production voulue des crises sociales et économiques.
  • L'émergence des états policiers.
  • La perte de toute nationalité et l'émergence d'un gouvernement mondial.
  • La prochaine réduction des populations.
  • L'unification apostasiée des religions.
  • L'arrivée au pouvoir d'un dictateur mondial.
  • L'imminente perte de nos droits de propriétés et libertés



"Jusqu'au 30e deg, les franc-maçons sont dans l'ignorance du vrai culte de la franc-maçonnerie"

NB: la conférence a eu lieu dans les années 90

Citations :

Jean-Paul II : "Vers la fin de cette decennie (2000), nous vivrons sous le premier gouvernement mondial à exister dans la société des nations. Un gouvernement avec l'autorité absolue de décieer toutes les issues de la vie humaine!"

Georges Bush : "Aujourd'hui, un Nouvel Ordre Mondial est à naître. Un monde très différent de celui que nous avons connu!"

David Rockfeller : "Nous sommes reconnaissants au NY Times, Washington Post, Time Magazine et à plusieurs autres, dont les directeurs ont assisté à nos réunions et ont respecté leurs promesses de discretion pendant presque 40 ans. Il aurait été impossible pour nous de développer nos plans pour le Monde, si nous avions été soulis à la lumière de la publicité durant ces années."

Décret des Nations-Unis 1992 : "L'âge des nations doit prendre fin! Les souverainetés des gouvernements doivent être amenées sous un seul gouvernement auquel ils doivent abandonner leurs armes!"

Bill Clinton : "Je planifie de retirer les armes de tous les citoyens américains et de vous les remettre (à la milice)."

Adolph Hitler : "1935 restera dans l'histoire, car pour la première fois, une nation civilisée oblige l'enregistrement de ses armes! Nos rues seront plus sécuritaires, notre police, plus efficaces et le monde entier suivront notre exemple !"

Robert Miller (ex assistant au secrétariat des Nations-Unis) : "Nous devons agir aussi vite que possible vers un seul gouvernement mondial, une seule religion, un seul chef mondial."

Baron Nathan Rothchild : "Laissez-moi émettre et contrôler la monnaie d'une nation et je me "fous" de ceux qui font les lois."

Felix Rohatyn (CFR) : "Les Etats-Unis doivent être forcés à s'abandonner à l'autorité de la Banque Mondiale afin de progresser vers le Nouvel Ordre Mondial!"

Nicolas Sarkozy : "On ira ensemble vers un Nouvel Ordre Mondial, et personne, je dis bien personne ne pourra s'y opposer."

Dominique Strauss-Kahn : "Le G20 comme embryon de cette gouvernance mondiale, le FMI comme moteur."

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Mon peuple est détruit, faute de connaissance. Puisque toi tu as rejeté la connaissance, je te rejetterai, afin que tu n'exerces plus devant moi le sacerdoce; puisque tu as oublié la loi de ton Dieu, moi aussi j'oublierai tes enfants. « Osée 4 :6 »


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 A voir également  :"Franc-maçonnerie et satanisme"

mardi 23 juillet 2013

Banlieue : La politique maçonnique de Valls crée un climat de tension ("bon pour Israël")


Valls refuse de s'attaquer à la délinquance mais préfère laisser encourager les bavures sur des femmes voilées pour créer un climat de tension qui au contraire, renforce l'insécurité générale et menace à terme de déstabiliser le pays : c'est d'ailleurs la stratégie recherchée par les traitres à la Nation. 



La stratégie de la franc-maçonnerie dans les banlieues est de hâter les tensions pour créer un climat propice au désordre ("chao") visant au final l'autodestruction de la France. Cela favorise les intérêts des usuriers de la dette publique qui après avoir ruiné le pays, espèrent ainsi échapper à leur sort.

Les français de tous bords, de toutes religions, ainsi que les forces de l'ordre et personnels militaires qui ont le souci de l'intérêt national doivent s'unir pour bouter l'influence de la franc-maçonnerie qui gangrène le pays.

S'il se trouve encore des cow-boys isolés faisant preuve d'une incroyable lâcheté en s'en prenant à des femmes (voilées ou non). Honte à eux. Ils ne représentent qu'eux-mêmes (ou leurs loges s'ils agissent de façon commanditée). Ils ne représentent pas les forces de l'ordre, ni l'honneur de l'uniforme. Ce sont des lâches et des traitres.

Tous ceux (flics ou racailles) qui, en conscience ou non, font par leurs actions, le jeu de ceux qui veulent amener le chaos dans le pays  sont des ennemis de la Nation.

Il n'y a que l'habit qui diffère entre des lâches habillés en uniforme ou des lâches habillés en racailles. Leurs viles actions méritent le plus grand mépris et l'abjection de leurs pairs.

Les gens d'Honneurs, habitants des quartiers ou forces de l'ordre n'ont plus à devoir subir l'influence maçonnique qui gangrène les institutions, laissant la désolation et la honte sur son passage.







lundi 22 juillet 2013

Pédosatanisme : Quel niveau d'horreur en France ?



  • Interview synthèse des liens entre franc-maçonnerie et le réseau pédosataniste

  • Lien entre le réseau français et l'Europe (Hollande et Belgique notamment) 

  • Trafic d'influence et le trafic d'enfants :  

dimanche 21 juillet 2013

La franc-maçonnerie gangrène les institutions

La franc-maçonnerie ne se contente pas de servir les usuriers, avec pour stratégie "Ordo Ab Chao", elle définie aussi les programmes menant à la décadence progressive du pays comme tout récemment le mariage gay... "Au conseil de l'Ordre, elle va pratiquement fixer le programme du gouvernement"


Lien direct vers la vidéo 

mardi 16 juillet 2013

"Ce que vous ignorez sur le Groupe de Bilderberg" (T. Meyssan)


Depuis plusieurs années, l’idée s’est répandue que le Groupe de Bilderberg serait un embryon de gouvernement mondial. Ayant eu accès aux archives de ce club très secret, Thierry Meyssan montre que cette description est une fausse piste utilisée pour masquer la véritable identité et fonction du Groupe : le Bilderberg est une création de l’OTAN. Il vise à convaincre des leaders et à manipuler l’opinion publique à travers eux pour la faire adhérer aux concepts et aux actions de l’Alliance atlantique.

| Moscou (Russie)



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Première réunion du Groupe, à l’hôtel Bilderberg (1954)
Chaque année, depuis 1954, une centaine des plus éminentes personnalités d’Europe de l’Ouest et d’Amérique du Nord se réunissent —à huis clos et sous très haute protection— au sein du Groupe de Bilderberg. Leur séminaire dure trois jours et rien ne transparait de leurs débats.
Depuis la dislocation de l’Union soviétique, des journalistes se sont intéressés à cette organisation élitiste et secrète. Certains auteurs y ont vu un embryon de gouvernement mondial et lui attribuent les principales décisions politiques, culturelles, économiques et militaires de la seconde moitié du XXe siècle. Une interprétation qu’a relayée Fidel Castro, mais que rien n’est venue confirmer, ni infirmer.
Pour savoir ce qu’est ou n’est pas le Groupe de Bilderberg, j’ai cherché des documents et des témoins. J’ai eu accès à l’intégralité de ses archives pour la période 1954-1966 et à de nombreuses pièces ultérieures, et j’ai pu discuter avec un de ses anciens invités que je connais de très longue date. Aucun journaliste à ce jour, et certainement pas les auteurs à succès qui ont popularisé les clichés actuels, n’a eu accès à tant de documents internes du Bilderberg.
Voici ce que j’ai découvert et compris.

La première réunion


70 personnalités, issues de 12 pays, participent à la première réunion du Groupe. C’est un séminaire de trois jours, du 29 au 31 mai 1954, près d’Arnhem (Pays-Bas). Les invités sont répartis dans deux autres hôtels avoisinants, mais les débats se tiennent dans l’établissement principal qui donna son nom au Groupe.
Les invitations, à en-tête du Palais de Soestdijk, sont sybillines. : « J’apprécierais vivement votre présence au congrès international, sans caractère officiel, qui se tiendra aux Pays-Bas vers la fin du mois de mai. Ce congrès désire étudier un certain nombre de questions d’une grande importance pour la civilisation occidentale et a pour but de stimuler le goodwill et l’entente réciproque grâce à un libre échange de vues ». Elles sont signées du prince consort des Pays-Bas, Bernhard zur Lippe-Biesterfeld, et accompagnées de quelques pages d’informations administratives sur le transport et l’hébergement. Tout au plus y apprend-on que les délégués seront issus des États-Unis et de 11 États ouest-européens, et que 6 séances de travail de 3 heures chacune sont prévues.

Vu le passé nazi du prince Bernhard (qui avait servi dans la cavalerie SS jusqu’à son mariage en 1937 avec la princesse Juliana) et dans le contexte du McCarthysme, il est clair que les « questions d’une grande importance pour la civilisation occidentale  » tournent autour de la lutte contre le communisme.
Une fois arrivé sur place, l’impression des invités est tempérée par les deux présidents de séance : l’entrepreneur états-unien John S. Coleman et le ministre belge sortant des Affaires étrangères Paul van Zeeland. Le premier est un militant du libre-échange, le second est un partisan de la Communauté européenne de Défense (CED) [1]. Enfin, on aperçoit en bout de tribune Joseph Retinger, l’éminence grise des Britanniques. Tout cela laisse à penser que les monarchies hollandaise et britannique ont sponsorisé cette réunion pour soutenir la Communauté européenne de Défense et le modèle économique du capitalisme libre-échangiste face à l’anti-américanisme que promeuvent communistes et gaullistes.
Cependant, les apparences sont trompeuses. Il ne s’agit pas de faire campagne pour la CED, mais de mobiliser les élites pour la Guerre froide.

S.A.R. le prince Bernhard a été choisi pour convoquer ce congrès parce que son statut de prince consort lui donne un caractère étatique sans pour autant être officiel. Il masque le commanditaire : une organisation inter-gouvernementale qui entend manipuler les gouvernements de certains de ses États membres.
John S. Coleman n’est pas encore le président de la Chambre de Commerce des États-Unis, mais il vient de créer le Comité des citoyens pour une politique nationale du Commerce (Citizen’s Committee for a National Trade Policy — CCNTP). Selon lui, le libre-échange absolu, c’est-à-dire le renoncement à tous les droits de douane, permettra aux pays alliés des États-Unis d’accroître leur richesse et de financer la Communauté européenne de Défense (c’est-à-dire de réarmer l’Allemagne et d’intégrer sa puissance militaire potentielle au sein de l’OTAN)

Or, les documents en notre possession montrent que le CCNTP n’a de citoyen que le nom. C’est en réalité une initiative de Charles D. Jackson, le conseiller en guerre psychologique de la Maison-Blanche. L’opération est pilotée en amont par William J. Donovan, l’ancien commandant de l’OSS (le service de renseignement US durant la guerre) désormais chargé d’édifier la branche américaine du nouveau service secret de l’OTAN, le Gladio [2].

Paul van Zeeland n’est pas seulement le promoteur de la Communauté européenne de Défense, c’est aussi un politicien de grande expérience. À la Libération, il a présidé la Ligue indépendante de coopération européenne (LICE) dont l’objectif est de créer une union douanière et monétaire. Cette organisation a été mise en place par Joseph Retinger, déjà cité.

Précisément Retinger, qui fait office de secrétaire du congrès de Bilderberg, a servi durant la guerre dans les services secrets anglais (SOE) du général Colin Gubbins. Aventurier polonais, Retinger s’est retrouvé conseiller du gouvernement Sikorski en exil au Royaume-Uni. À Londres, il a animé le microsome des gouvernements en exil se faisant ainsi le plus beau carnet d’adresse de l’Europe libérée.
Son ami Sir Gubbins a officiellement quitté le service et le SOE a été dissout. Il dirige une petite entreprise de tapis et textiles, qui lui sert de « couverture ». En réalité, aux côtés de son homologue Donovan, il est chargé de créer la branche anglaise du Gladio. Il a participé à toutes les réunions préparatoires du congrès de Bilderberg et est présent parmi les invités, assis à côté de Charles D. Jackson.
À l’insu des participants, ce sont donc les services secrets de l’OTAN qui sont la puissance invitante. Bernhard, Coleman et van Zeeland servent de paravents.

N’en déplaise aux journalistes imaginatifs qui ont cru discerner dans le Bilderberg une volonté de créer un gouvernement occulte mondial, ce club de personnalités influentes n’est qu’un outil de lobbying de l’OTAN pour la promotion de ses intérêts. C’est beaucoup plus sérieux et beaucoup plus dangereux, car c’est l’OTAN qui ambitionne d’être un gouvernement occulte mondial garantissant la pérennité du statu quo international et de l’influence US.
D’ailleurs, la sécurité de chaque réunion ultérieure ne sera pas assurée par la police du pays hôte, mais par les soldats de l’Alliance.
Parmi les dix orateurs inscrits, on relève deux anciens Premiers ministres (Guy Mollet, France et Alcide de Gasperi, Italie), trois responsables du Plan Marshall, le faucon de la Guerre froide (Paul H. Nitze) et surtout un très puissant financier (David Rockefeller).

Selon les documents préparatoires, une vingtaine de participants sont dans la confidence. Ils savent plus ou moins en détail qui sont les tireurs de ficelles et ont rédigé à l’avance leurs interventions. Les moindres détails ont été ajustés et il n’y a aucune part d’improvisation. Au contraire, la cinquantaine d’autres participants ignore tout de ce qui se trame. Ils ont été choisis pour influencer leurs gouvernements respectifs et l’opinion publique de leur pays. Le séminaire est donc organisé pour les convaincre et pour les pousser à s’engager à propager les messages que l’on veut diffuser.
Les interventions ne portent pas sur les grands problèmes internationaux, mais analysent la stratégie idéologique supposée des Soviétiques et exposent la manière dont elle doit être contrée dans le « monde libre ».

Les premières interventions évaluent le danger communiste. Les « communistes conscients » sont des individus qui entendent placer leur patrie au service de l’Union soviétique afin d’imposer au monde un système collectiviste. Ils doivent être combattus. Mais cette lutte est difficile car ces « communistes conscients » sont noyés en Europe dans une masse d’électeurs communistes qui ignorent tout de leurs sombres desseins et les suivent dans l’espoir de meilleures conditions sociales.
Progressivement, la rhétorique se durcit. Le « monde libre » doit affronter le « complot communiste mondial », non seulement de manière générale, mais aussi en répondant à des questions concrètes sur les investissements états-uniens en Europe ou sur la décolonisation.

Enfin, les orateurs en arrivent au problème principal —que les Soviétiques, assurent-ils, exploitent à leur profit— : pour des raisons culturelles et historiques, les responsables politiques du « monde libre » emploient des arguments différents aux États-Unis et en Europe, arguments qui se contredisent parfois. Le cas le plus emblématique est celui des purges organisées par le sénateur McCarthy aux États-Unis. Elles sont indispensables pour sauver la démocratie, mais la méthode choisie est ressentie en Europe comme une forme de totalitarisme.
Le message final, c’est qu’aucune négociation diplomatique, aucun compromis n’est possible avec les « Rouges  ». Il faut empêcher coûte que coûte les communistes de jouer un rôle en Europe occidentale, mais il va falloir ruser : comme on ne peut pas les arrêter et les fusiller, il faudra les neutraliser avec discrétion, sans que leurs électeurs eux-mêmes s’en rendent compte. Bref, l’idéologie qui est développée, c’est celle de l’OTAN et du Gladio. Il n’a jamais été dit que l’on truquerait les élections, ni que l’on assassinerait les tièdes, mais tous les participants ont admis que pour sauver le « monde libre », il faudrait mettre la liberté entre parenthèses.

Bien que le projet de Communauté européenne de Défense (CED) ait échoué trois mois plus tard sous les coups de boutoir des députés communistes et « nationalistes extrémistes » (c’est-à-dire gaullistes) au Parlement français, le congrès fut considéré comme un succès. Malgré les apparences, il n’avait pas pour but de soutenir la création de la CED ou toute autre mesure politique précise, mais de diffuser une idéologie dans la classe dirigeante, puis à travers elle dans la société. Objectivement, les Européens de l’Ouest avaient de moins en moins conscience des libertés dont ils étaient privés et ils étaient de plus en plus informés des libertés qui faisaient défaut aux habitants de l’Europe de l’Est.

Le Bilderberg devient une organisation


Un second congrès est donc organisé en France, du 18 au 20 mars 1955. À Barbizon.
Progressivement l’idée que ces congrès seront annuels et qu’ils nécessitent un secrétariat permanent s’impose. Le prince Bernhard se met en retrait lorsqu’il est pris en flagrant délit de trafic d’influence (scandale Lockheed-Martin). Il cède à l’ancien Premier ministre britannique Alec Douglas Home (1977-80), la présidence qui sera ensuite tenue par l’ancien chancelier et président allemand Walter Scheel (1981-85), l’ancien gouverneur de la Banque d’Angleterre Eric Roll (1986-89), l’ancien secrétaire général de l’OTAN Peter Carrington (1990-98), et enfin l’ancien vice-président de la Commission européenne Étienne Davignon (depuis 1999).

Pendant longtemps, le président du Groupe de Bilderberg est assisté de deux secrétaires généraux, un pour l’Europe et le Canada (les États vassaux), l’autre pour les États-Unis (le suzerain), cependant, il n’y a plus qu’un seul secrétaire général depuis 1999.
D’une année sur l’autre, les débats sont très redondants, c’est pourquoi les invités changent. Il y a toujours un noyau dur qui a préparé le séminaire à l’avance et des nouveaux venus à qui l’on inculque la rhétorique atlantiste du moment.

Actuellement, les séminaires annuels rassemblent plus de 120 participants, dont toujours un tiers forment le noyau dur. Ils ont été sélectionnés par l’Alliance en fonction de l’importance de leurs relations et de leur capacité d’influence, indépendamment de leurs fonctions dans la société. Ainsi, ils restent membres du noyau dur lorsqu’ils changent de métier.
Voici la liste exacte de ce noyau dur, incluant les membres du Conseil d’administration, qui servent de devanture pour les invités, et des membres moins visibles pour ne pas effaroucher les nouveaux venus.
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Étienne Davignon, secrétaire général du Groupe de Bilderberg
Conseil d’administration
Josef Ackermann Banquier suisse, directeur de la Deutsche Bank, vice-président du Forum de Davos.
Roger C. Altman Banquier états-unien, ancien conseiller des campagnes électorales de John Kerry et Hillary Clinton, directeur de la banque d’affaire Evercore Partners Inc.
Francisco Pinto Balsemão Ancien Premier ministre socialiste du Portugal (1981-83), président-fondateur du plus important groupe de télévision portugais SIC. (T)
Fran Bernabè Banquier italien, actuel patron de Telecom Italia (T)
Henri de Castries Pdg de l’assureur français AXA
Juan Luis Cebrián Directeur du groupe de presse écrite et audiovisuel espagnol Prisa.
W. Edmund Clark Banquier canadien, PDF de Toronto-Dominion Bank Financial Group
Kenneth Clarke Ancien vice président de British American Tobacco (1998-2007), Garde des sceaux et ministre britannique de la Justice, vice-président du Mouvement européen UK.
George A. David Pdg de Coca-Cola.
Étienne Davignon Homme d’affaire belge, ancien vice-président de la Commission européenne (1981-85), actuel vice-président de Suez-Tractebel.
Anders Eldrup Pdg de la société danoise des gaz et pétrole DONG Energy.
Thomas Enders Directeur d’Airbus.
Victor Halberstadt Professeur d’économie à l’université néerlandaise de Leiden, il conseille diverses sociétés telles que Goldman Sachs ou Daimler-Chrysler.
James A. Johnson Financier états-unien, il fut un des principaux responsables du Parti démocrate et un des artisans de l’investiture de Barack Obama. Il est vice-président de la banque d’affaire Perseus.
John Kerr of Kinlochard Ancien ambassadeur du Royaume-Uni à Washington, vice-président du groupe pétrolier Royal Dutch Shell (T)
Klaus Kleinfeld Pdg allemand du géant états-unien de l’aluminium, Alcoa.
Mustafa V. Koç Pdg de la holding Koç, première entreprise turque.
Marie-Josée Drouin-Kravis Éditorialiste économique dans la presse écrite et audiovisuelle canadienne. Chercheuse au très militariste Hudson Institute. Elle est la troisième épouse de Henry Kravis.
Jessica T. Mathews Ancienne directrice des affaires globales au Conseil de sécurité nationale des Etats-Unis. Actuelle directrice de la Fondation Carnegie.
Thierry de Montbrial Économiste, directeur-fondateur de l’Institut français des relations internationales (IFRI) et de la World Policy Conference.
Mario Monti Économiste italien, ancien commissaire européen à la concurrence (1999-2005), co-fondateur du Spinelli Group pour le fédéralisme européen.
Egil Myklebust Ancien président du patronat norvégien, directeur de Scandinavian Airlines System (SAS).
Matthias Nass Directeur adjoint du quotidien allemand Die Zeit
Jorma Ollila Homme d’affaire finlandais, ancien Pdg de Nokia, actuel président du groupe pétrolier Royal Dutch Shell.
Richard N. Perle Ancien président du Conseil consultatif de Défense du Pentagone, il est un des principaux leaders des Straussiens (les disciples de Leo Strauss) et à ce titre, une figure majeure du néo-conservatisme.
Heather Reisman Femme d’affaire canadienne, Pdg du groupe d’édition Indigo-Chapters.
Rudolf Scholten Ancien ministre autrichien des Finances, gouverneur de la Banque centrale.
Peter D. Sutherland Ancien commissaire européen irlandais à la concurrence, puis directeur général de l’Organisation mondiale du Commerce.Ancien directeur de BP. Actuel président de Goldman Sachs International. Ancien président de la section européenne de la Commission trilatérale, et vice-président de l’European Round Table of Industrialists, actuel président d’honneur du Mouvement européen Irlande.
J. Martin Taylor Ancien député britannique, Pdg du géant de la chimie et de l’agroalimentaire Syngenta.
Peter A. Thiel Chef d’entreprise états-unien, Pdg de PayPal, président de Clarium Capital Management et à ce titre actionnaire de Facebook.
Daniel L. Vasella Pdg du groupe pharmaceutique suisse Novartis.
Jacob Wallenberg Banquier suédois, il est administrateur de nombreuses compagnies transnationales.
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Henry Kissinger, principal responsable des invitations au Groupe de Bilderberg
Membres cachés du noyau dur
Carl Bildt Ancien Premier ministre libéral de Suède (1991-94), ancien envoyé spécial de l’Union européenne puis de l’ONU dans les Balkans (1995-97, 1999-2001), actuel ministre suédois des Affaires étrangères. (T)
Oscar Bronner Pdg du quotidien autrichien Der Standard.
Timothy C. Collins Financier états-unien, directeur du fond de placement Ripplewood. (T)
John Elkann PDG du groupe italien d’automobile Fiat (son grand-père Gianni Agnelli fut pendant quarante ans un des animateurs du Groupe de Bilderberg. Il a hérité de la fortune familiale après le décès de mort naturelle de son grand-père Giovanni et la mort prématurée de son oncle Edoardo. Cependant, des sources policières sont convaincues que Edoardo a été assassiné après qu’il se soit converti à l’islam chiite, de sorte que la fortune revienne à la branche juive de la famille).
Martin S. Feldstein Ancien conseiller économique de Ronald Reagan (1982-84), et actuel conseiller économique de Barack Obama. Il a aussi été conseiller de George W. Bush pour le Renseignement extérieur. Il enseigne à Harvard. (T)
Henry A. Kissinger Ancien conseiller de sécurité nationale des Etats-Unis et secrétaire d’Etat, personnalité centrale du complexe militaro-industriel US, actuel président de la société de conseil Kissinger Associates.
Henry R. Kravis Financier états-unien gestionnaire du fond de placement KKR. Il est un des principaux collecteurs de fonds du Parti républicain.
Neelie Kroes Ancienne ministre néerlandaise libérale des Transports, commissaire européenne à la concurrence, et actuelle commissaire à la société numérique.
Bernardino Léon Gross Diplomate espagnol, secrétaire général de la présidence du gouvernement socialiste de José-Luis Zapatero.
Frank McKenna Ancien membre de la Commission de surveillance des services de renseignement canadiens, ambassadeur du Canada à Washington (2005-06), vice-président de la Banque Toronto-Dominion.
Beatrix des Pays Bas Reine de Hollande. Elle est la fille du prince Bernhard.
George Osborne Ministre britannique des Finances. Ce néo-conservateur est considéré comme un eurosceptique. Il faut comprendre par là qu’il est opposé à la participation du Royaume-Uni à l’Union européenne, mais qu’il est partisan de l’organisation du continent au sein de l’Union.
Robert S. Prichard Économiste canadien, directeur du groupe de presse écrite et audiovisuelle Torstar.
David Rockefeller Le patriarche d’une longue lignée de financiers. Il est le plus ancien membre du noyau dur des Bilderbergers. Il est également le président de la Commission Trilatérale, une organisation similaire intégrant des participants asiatiques.
James D. Wolfensohn Financier australien ayant pris la nationalité états-unienne pour devenir président de la Banque mondiale (1995-2005), aujourd’hui directeur du cabinet conseil Wolfensohn & Co.
Robert B. Zoellick Diplomate états-unien, ancien délégué au Commerce des États-Unis (2001-05), actuel président de la Banque mondiale.
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David Rockefeller, conseiller du Groupe de Bilderberg
Les Bilderbergers n’engagent pas les entreprises ou institutions dans lesquelles, ils travaillent. Cependant, il est intéressant d’observer la diversité de leurs secteurs d’activité.

Le lobby de la plus puissante organisation militaire mondiale


Au cours des dernières années, le nombre de sujets abordés lors des séminaires annuels a augmenté en fonction de l’actualité internationale. Mais cela ne nous apprend rien, car ces discussions n’ont aucun objet en elles-mêmes, elles sont juste des prétextes pour faire passer des messages. Malheureusement, nous n’avons pas eu accès aux documents préparatoires les plus récents et ne pouvons que supputer sur les mots d’ordre que l’OTAN s’efforce de diffuser via ces leaders d’opinion.

La réputation du Groupe de Bilderberg a conduit certains auteurs à lui attribuer des capacités de nomination. C’est stupide et cela masque les vrais tireurs de ficelles qui se trouvent au sein de l’Alliance atlantique.
Par exemple, on a rapporté que durant la dernière campagne électorale présidentielle aux États-Unis, Barack Obama et Hillary Clinton ont disparu durant une journée, le 6 juin 2008, pour négocier à l’écart la fin de leur rivalité. Ils se sont en réalité rendus au séminaire annuel du Groupe de Bilderberg, à Chantilly (Virginie, USA). Or, le lendemain, Mme Clinton annonçait qu’elle se retirait de la course. Certains auteurs en ont conclu que la décision a été prise au cours de la réunion du Bilderberg. Ce n’est pas logique, dans la mesure où cette décision était certaine depuis trois jours vu le nombre de voix du sénateur Obama au sein du comité d’investiture du Parti démocrate.

Selon notre source, c’est autre chose qui s’est passé. Barack Obama et Hillary Clinton ont conclu à l’écart un accord financier et politique. Le sénateur Obama a renfloué les caisses de sa rivale et lui a offert un poste dans son administration (Mme Clinton a refusé la vice-présidence et a choisi le département d’État) en échange de son soutien actif durant la campagne contre le candidat républicain. Puis, les deux leaders ont été introduits par James A. Johnson au séminaire du Bilderberg où ils ont assuré les participants qu’ils travailleraient ensemble. Depuis longtemps déjà, Barack Obama était le candidat de l’OTAN. M. Obama et sa famille ont toujours travaillé pour la CIA et le Pentagone [3]. De plus, les premiers financements de sa campagne ont été fournis par la Couronne d’Angleterre via l’homme d’affaire Nadhmi Auchi. En présentant le sénateur noir aux Bilderbergers, l’Alliance atlantique organisait à l’échelle internationale les relations publiques du futur président des États-Unis.

De même, on a rapporté que le Groupe de Bilderberg a organisé un dîner impromptu, hors séminaire, le 14 novembre 2009 au Château de Val Duchesse, propriété du roi de Belgique. L’ancien Premier ministre belge Herman von Rompuy y a prononcé un discours. Or, cinq jours plus tard, il fut élu président du Conseil européen. Là encore, certains auteurs en on conclu à tort que le Groupe de Bilderberg était le « faiseur de roi ».

En réalité, le président de l’Union européenne ne pouvait pas être choisi en dehors des cercles de l’OTAN, puisque —rappelons-le— l’Union européenne est issue des clauses secrètes du Plan Marshall. Et ce choix devait être avalisé par les États membres. Ce type de décision nécessite de longues négociations et ne se prend pas lors d’un dîner entre amis.
Toujours selon notre source, le président du Groupe de Bilderberg, Étienne Davignon, a convoqué ce dîner exceptionnel pour présenter van Rompuy à ses relais d’influence. La chose était d’autant plus indispensable que la première personnalité à occuper la nouvelle fonction de président de l’Union était totalement inconnue en dehors de son pays. Au cours du repas, M. Van Rompuy a exposé son programme de création d’un impôt européen pour financer directement les institutions de l’Union sans passer par les États membres. Il restait aux Bilderbergers à clamer partout où ils le pouvaient qu’ils connaissent Herman von Rompuy et attestent de ses qualités pour présider l’Union.
La réalité du Groupe de Bilderberg est donc moins romantique que certains auteurs à succès l’ont imaginée. L’incroyable déploiement de forces militaires pour assurer sa sécurité n’a pas tant pour objet de le protéger que d’impressionner ceux qui y participent. Il ne manifeste pas leur puissance, mais leur montre que la seule vraie puissance en Occident, c’est l’OTAN. Libre à eux de la soutenir et d’être appuyés par elle, ou de la combattre et d’être inexorablement écrasés.

En outre, bien que le Groupe de Bilderberg ait développé à ses débuts une rhétorique anti-communiste, il n’était pas tourné contre l’URSS et n’est pas aujourd’hui tourné contre la Russie. Il suit la stratégie de l’Alliance qui n’est pas un Pacte contre Moscou, mais pour la défense —et éventuellement l’extension— de la zone d’influence de Washington. À sa création, l’OTAN avait espéré intégrer l’Union soviétique, ce qui aurait équivalu à un engagement de Moscou de ne pas remettre en cause le partage du monde issu des conférences de Postdam et de Yalta. Récemment l’Alliance a accueilli le président Dmitry Medvedev au sommet de Lisbonne et lui a proposé que la Russie se joigne à elle. Il ne s’agirait pas alors d’une vassalisation, mais de la reconnaissance du Nouvel Ordre Mondial, dans lequel toute l’Europe centrale et orientale est passée dans l’orbite états-unienne. Une adhésion russe vaudrait en quelque sorte traité de paix : Moscou reconnaitrait sa défaite dans la Guerre froide et le nouveau partage du monde.
Dans ce cas, le Groupe de Bilderberg inviterait des personnalités russes à ses réunions annuelles. Il ne leur demanderait pas d’influer l’opinion publique russe pour l’américaniser, mais pour la convaincre de renoncer définitivement aux rêves de grandeur du passé.

source:  Voltairenet.org





lundi 15 juillet 2013

L'art du naturel en maçonnerie

Quand la pose photo donne froid à la main droite... 

 the hidden sign of the men who worship the God, Jahbuhlun (4)









BOTUL

Les amis de BHL en Libye : 8 000 raids, 30.000 bombes, 60.000 morts
Les amis de BHL en Syrie : 90.000 morts
Les amis de BHL en ... Algérie, Egypte.. France ?

"parce que c'est bon pour Israël" (BHL)






plus d'infos : Codex Magica (Texe Marrs) : (4) ; (15) ; (16) ;  

samedi 13 juillet 2013

Codex Magica by Texe Marrs




 
by Texe Marrs
from Scribd Website

 

The Innermost Secrets of the Illuminati Beckon You
 
They vowed you would never know. They thought there was no way you could possibly unmask the sick things they have been hiding. They were wrong. Now, thanks to the incredible revelations in this amazing book, you can discover their innermost secrets.

You can identify the members of the Illuminati and unravel their astonishing plan to control and manipulate. You can crack the Illuminati code.

.

They Have Their Own Hidden Language
Codex Magica is awesome in its scope and revelations. It contains over 1,000 actual photographs and illustrations. You'll see with your own eyes the world's leading politicians and celebrities  - including America's richest and most powerful  - caught in the act as they perform occult magic.

Once you understand their covert signals and coded picture messages, your world will never be the same. Destiny will be made manifest. You will know the truth and everything will become clear.

Texe Marrs is author of over 37 books, including the #1 bestseller Dark Secrets of the New Age and Circle of Intrigue: The Hidden Inner Circle of the Global Illuminati Conspiracy.

A retired career U.S. Air Force officer, he has taught at the University of Texas at Austin and has appeared on radio and TV talk shows across America.
Last night I saw upon the stair a little man who wasn't there. He wasn't there again today. Oh gee, I wish he'd go away!

 - Old Nursery Rhyme





Contents
  • Introduction - The Occult Script-A Colossal and Monstrous Conspiracy
  1. Caution! - You Are Now Entering the Forbidden Zone
  2. The Megalomania of the Psychopaths - Why The llluminati Do What They Do
  3. Concealed Messages - The Importance of Hand Signs to the llluminati
  4. For He's a Jolly Good Fellow - Sign of the Devil's Claw By the Men of the Craft
  5. Baphles Me! - Horned Beasts, Leaping Goats, Satanic Beards, and Other Messages of Evil
  6. A Show of Hands - llluminists Employ the Grand Hailing Sign and the Sign of Admiration and Astonishment
  7. "I Gruesomely Swear That I'm On the Square" - More Revealing Signs of llluminati Cultists
  8. "Cross My Heart and Hope to Die" - The Mysterious "X" Factor
  9. That Ravenous Dark Bird - Sublime Mysteries of the Illuminati's Double-Headed Eagle
  10. Hand On Heart - Sign of Devotion to the Chiefs
  11. Magical Signs of the Jewish Cabala - The Six-Pointed Star, Babylonian Witchcraft, and the Hollywood Perdition of Jerry Seinfeld and Associates
  12. Scorched by the Sun - Solar Signs, Circles, and Serpents
  13. "I Fell In To A Burning Ring of Fire" - Arnold Schwarzenegger's Masonic Ring, Newt Gingrich's T-Rex Dinosaur, and Other Mysterious Messages on Rings and Neckties of the Elite
  14. Victory For the Devil - Fabulous Exploits of Sir Winston Churchill and Other Druid Priests and llluminati Servants
  15. Blood Red - Red Stars, Clenched Fists, Hammers and Sickles, and Other Signs and Symbols of Communist Intrigue